Propos révoltants ou pragmatiques

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PROPOS OFFICIELS : RÉVOLTANTS OU PRAGMATIQUES ?

 Quelle que soit votre réponse à cette question, les répercussions de ces propos sont toutes des destructions humaines qui peuvent mener à des conflits, voire des guerres répétitives.

Ironie de ces destructions humaines volontaires, elles ont toutes comme point commun, en dehors de l'idiotie et de la corruption financière, l'application sans discernement de la règle comptable mark-to-market dans le monde de la finance.

Un simple choix comptable et un peu plus d'humanité suffiraient à éradiquer la majorité des crises financières et humaines.

Les déclarations ci-dessous émanant de responsables des plus hautes autorités ne sont pas mise à jour, car les faits juridiques de tromperie, perte de chance, abus de confiance et escroquerie des épargnants restent de mise (us et coutumes ?) dans un certain monde commercial financier, autant que dans un certain monde dit de la "gestion de patrimoine". 

LA STABILITÉ DE NOTRE AVENIR NE POURRA SE CONSTRUIRE QUE SUR DES BASES HUMANITY INVEST.

Jean-Paul Gaudal, directeur du département supervision bancaire et comptable à la Fédération Bancaire Française, dans « Confrontation Europe » de juillet/septembre 2010 : « Le concept de « fair value », la « juste valeur » sonne à priori équitable : il correspond à la question ancienne de la valorisation correcte des actifs financiers. Mais en valorisant ces actifs au prix du marché au détriment d’autres méthodes, il a contraint les investisseurs à afficher, en période hausses comme de baisses des cours, des gains ou des pertes comptables injustifiés par rapport aux fondamentaux économiques, ce qui a contribué à accroître la volatilité et à bouleverser le paysage financier. Dès lors que les marchés deviennent illiquides, les évaluations ne font que refléter le pessimisme ou l’optimisme des rares participants, dont le comportement ressort alors de phénomènes de hordes, déclenchant de brutales variations de valeur des actifs, à la hausse comme à la baisse.

Laurence Boisseau dans « Les Echos » du 2 juillet 2012 Article intitulé : AMF : Jean-Pierre Jouyet tire sa révérence aujourd’hui   
« Enfin, les normes comptables devront être regardées de très près, notamment dès qu’il s’agit de comptabiliser à la valeur de marché, ce qui ne peut que générer une forte volatilité. »

Dans « www.trends.be » du 26 janvier 2012 André Orléan qui est au Comité scientifique de l’AMF Article intitulé : Et si les marchés financiers avaient tort ?  «Les prix sur lesquels reposent les marchés financiers sont tronqués, pour ne pas dire totalement faux ! »

Paul-Henri de La Porte du Theil nouveau Président de l’Association de la Gestion Financière dans « Les Echos » du 18 mai 2009 : «  Dans la gestion, nous avons focalisé sur le couple rendement-risque en oubliant la liquidité, qui semblait aller de soi. L’effet de ciseau entre un passif qui décollecte et un actif illiquide peut être très douloureux » 

Monsieur de Juvigny, Secrétaire général adjoint de l’AMF, le 6 décembre 2010 dans « La Tribune » va encore plus loin en précisant : « L’évaluation financière est si peu encadrée qu’elle fait presque figure d’anomalie dans l’univers réglementé de la finance. Mais avec l’essor du concept de « juste valeur », l’évaluation est apparue comme le maillon faible de l’information financière lors de la crise du « subprime », qui a mis en évidence la difficulté à cerner la valeur intrinsèque d’un actif en l’absence de transactions sur le marché. Avant d’ajouter que « L’AMF n’exclut pas la « possibilité de faire référence, à terme, aux standards de l’IVSC, mais « ne se prononce pas, à ce jour, en faveur de normes précises et contraignantes ». Et pourtant le même jour dans le même journal….

Michel Prada, ex-Président de COB, dans « La Tribune » daté du 6 décembre 2010 en page 37 : Article intitulé : Refonder l’évaluation financière pour restaurer la confiance « Les problèmes de valorisation sont au cœur des crises. Le sujet de l’évaluation financière échappe aujourd’hui à l’écran radar de la plupart des acteurs et des observateurs des marchés financiers. C’est là un véritable paradoxe au regard du rôle central joué par les problèmes de valorisation des actifs dans les dernières crises qui ont secoué non économies. L’incapacité des institutions financières à valoriser de façon précise et convaincante leurs actifs financiers complexes en l’absence de transactions sur le marché a en effet déclenché une crise de confiance sans précédent depuis 1929. L’heure est aujourd’hui à une refondation de l’évaluation financière, qui doit concerner tant les pratiques de place de la profession et sa déontologie. »

          2007 : Tamara Kummer, Porte-parole du Programme alimentaire mondial (PAM), le « grenier des Nations unies »   

          «  Nous distribuons quatre millions de tonnes de vivres par an à 73 millions de personnes dans 78 pays. L’augmentation  de 55 % de nos coûts, depuis juin 2007, a provoqué un manque à gagner, qui nécessite de réunir 500 millions de dollars avant le 1er mai. Si à cette date-là, nous n’avons pas les sommes nécessaires, nous serons obligés, soit de réduire de moitié nos rations, soit de diminuer de moitié le nombre de personnes que nous nourrissons. »

Mathieu Laine dans « Le Figaro » du 27 novembre 2009 : « L’élimination de la faim de la surface de la terre nécessiterait, selon le directeur général de la FAO, Jacques Diouf, 44 milliards de dollars par an d’aides publiques à investir dans les infrastructures, les technologies et les intrants modernes. Cette somme est, dit-il, modeste au regard des 1 340 milliards de dollars dépensés dans l’armement… »

Pascal Lamy, Directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) répondant à une interview dans « Les Echos » du 13 mai 2008 : Question posée : Le monde connaît une grave crise alimentaire. Comprenez-vous que des pays comme l’Argentine, la Chine ou l’Inde restreignent leurs exportations ? Réponse : En tant qu’économiste, j’estime qu’assécher l’offre va dans le mauvais sens. En tant qu’homme politique, je comprends. Les économistes voient cela globalement ; les politiques pensent à leur prochain mandat…. Cette crise alimentaire qui perdure en 2022 fait des millions de morts par an. Découverte en date du 8 03 22 sur WIKIPEDIA, cet adèpte de l'assèchement de l'offre qui fit et fait des millions de morts par an est, selon WIKIPEDIA en date du 8 03 22, président du Forum de Paris sur la paix depuis 2019...

La finance ne pouvant continuer d'être régulée par certaines décisions politiciennes incompréhensibles (quid de l'éventuelle indépendances des ambitions politiques de certains décisionnaires ?), l'offre de produits financiers "sous information humainement responsable" doit devenir une offre complémentaire généralisée aux offres normatives actuelles. Offres normatives actuelles qui s'autorisent les propos et actions de monsieur LAMY.

MAINTENANT, JE COMPRENDS MIEUX L'ORIGINE DE LA MISE À MAL DE LA SOCIÉTÉ EDELWEISS GESTION SUITE À LA DÉLATION D'UN COMMISSAIRE AUX COMPTES (QUI NE NOUS AVAIT POSÉ AUCUNE QUESTION AVANT SA DÉLATION) SUR UNE SIMPLE ERREUR DE RÈGLE DE TROIS DE LA PART DE CETTE "BALANCE" DE COMMISSAIRE AUX COMPTES. BALANCE QUALIFIÉE, PAR CET ÉVENTUEL "LUCKY LUKE" DE LA BALANCE, D'ERREUR D'INPUT" ... QUANT AUX NOMBREUX ARTICLES DE PRESSE (Y COMPRIS D'AVOCATS QUI SE TARGUENT D'ÊTRE DES DÉFENSEURS DES ÉPARGNANTS), LÀ AUSSI, CES BALANCES ( CRAPULES) NE NOUS AVAIENT POSÉ AUCUNE QUESTION AVANT LEUR DELATION MENSONGÈRE DANS LA PRESSE... (ÉVENTUEL "DÉMARCHAGE INDIRECT" ?) QUI AVAIENT TOUS COMME PARTICULARITÉ DE RÉPÉTER LES MÊMES MENSONGES... ÉVENTUELLEMENT, "COPAIN COMME COCHON ? " "COCHON OU PORC ?" CELA DIT, LA GÉNÉTIQUE FAISANT QUE "LES CHIENS NE FONT PAS DES CHATS" ...

Aujourd'hui, rien a changé. Bien au contraire, tout a pris des proportions démultipliées.

LORS D'UN DES PROCÈS QUE NOUS AVONS EUS, L'UNE DES AVOCATES EN COURS DE CASSATION DE LA PARTIE ADVERSE, VOYANT SON DOSSIER MAL ENGAGÉ, A CRU BON DE MENTIONNER LES PROPOS, ET LE NOM D'UNE POLICIÈRE DE LA BRIGADE FINANCIÈRE. PROPOS QUI ÉTAIENT À CHARGE CONTRE NOUS... EN FAIT, SIL Y AVAIT BIEN EU UN POLICIER, IL N'Y AVAIT JAMAIS EU DE POLICIÈRE...

CELA DIT, TOUS LES AUTRES AVOCATS ET AVOCATES AVAIENT ÉTÉ D'UNE TRÈS GRANDE DIGNITÉ, ET NOUS FURENT ACQUITTÉS.

QUANT AUX AVOCATS QUI UTILISENT LA PRESSE POUR SE FAIRE UNE IMAGE DE DÉFENSEUR DES ÉPARGNANTS...CONTRE DES SOCIÉTÉS DONT ILS NE CONNAISSENT RIEN, ET AUXQUELLES ILS N'ONT POSÉ AUCUNE QUESTION...CERTES, SI CELA PEUT ÊTRE UNE TECHNIQUE DE DÉMARCHAGE, QUELLE LÂCHETÉ !