Réseau "Comprendre & Investir" : Répondre à l’obligation juridique de mettre le client en situation de compréhension avant et pendant ses investissements.
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PROPOS OFFICIELS
Jean-Paul Gaudal, directeur du département supervision bancaire et comptable à la Fédération Bancaire Française, dans « Confrontation Europe » de juillet/septembre 2010 : « Le concept de « fair value », la « juste valeur » sonne à priori équitable : il correspond à la question ancienne de la valorisation correcte des actifs financiers. Mais en valorisant ces actifs au prix du marché au détriment d’autres méthodes, il a contraint les investisseurs à afficher, en période hausses comme de baisses des cours, des gains ou des pertes comptables injustifiés par rapport aux fondamentaux économiques, ce qui a contribué à accroître la volatilité et à bouleverser le paysage financier. Dès lors que les marchés deviennent illiquides, les évaluations ne font que refléter le pessimisme ou l’optimisme des rares participants, dont le comportement ressort alors de phénomènes de hordes, déclenchant de brutales variations de valeur des actifs, à la hausse comme à la baisse.
Laurence Boisseau dans « Les Echos » du 2 juillet 2012 Article intitulé : AMF : Jean-Pierre Jouyet tire sa révérence aujourd’hui
« Enfin, les normes comptables devront être regardées de très près, notamment dès qu’il s’agit de comptabiliser à la valeur de marché, ce qui ne peut que générer une forte volatilité. »
Dans « www.trends.be » du 26 janvier 2012 André Orléan qui est au Comité scientifique de l’AMF Article intitulé : Et si les marchés financiers avaient tort ? «Les prix sur lesquels reposent les marchés financiers sont tronqués, pour ne pas dire totalement faux ! »
Paul-Henri de La Porte du Theil nouveau Président de l’Association de la Gestion Financière dans « Les Echos » du 18 mai 2009 : « Dans la gestion, nous avons focalisé sur le couple rendement-risque en oubliant la liquidité, qui semblait aller de soi. L’effet de ciseau entre un passif qui décollecte et un actif illiquide peut être très douloureux »
Monsieur de Juvigny, Secrétaire général adjoint de l’AMF, le 6 décembre 2010 dans « La Tribune » va encore plus loin en précisant : « L’évaluation financière est si peu encadrée qu’elle fait presque figure d’anomalie dans l’univers réglementé de la finance. Mais avec l’essor du concept de « juste valeur », l’évaluation est apparue comme le maillon faible de l’information financière lors de la crise du « subprime », qui a mis en évidence la difficulté à cerner la valeur intrinsèque d’un actif en l’absence de transactions sur le marché. Avant d’ajouter que « L’AMF n’exclut pas la « possibilité de faire référence, à terme, aux standards de l’IVSC, mais « ne se prononce pas, à ce jour, en faveur de normes précises et contraignantes ». Et pourtant le même jour dans le même journal….
Michel Prada, ex-Président de COB, dans « La Tribune » daté du 6 décembre 2010 en page 37 : Article intitulé : Refonder l’évaluation financière pour restaurer la confiance « Les problèmes de valorisation sont au cœur des crises. Le sujet de l’évaluation financière échappe aujourd’hui à l’écran radar de la plupart des acteurs et des observateurs des marchés financiers. C’est là un véritable paradoxe au regard du rôle central joué par les problèmes de valorisation des actifs dans les dernières crises qui ont secoué non économies. L’incapacité des institutions financières à valoriser de façon précise et convaincante leurs actifs financiers complexes en l’absence de transactions sur le marché a en effet déclenché une crise de confiance sans précédent depuis 1929. L’heure est aujourd’hui à une refondation de l’évaluation financière, qui doit concerner tant les pratiques de place de la profession et sa déontologie. »
2007 : Tamara Kummer, Porte-parole du Programme alimentaire mondial (PAM), le « grenier des Nations unies » « Nous distribuons quatre millions de tonnes de vivres par an à 73 millions de personnes dans 78 pays. L’augmentation de 55 % de nos coûts, depuis juin 2007, a provoqué un manque à gagner, qui nécessite de réunir 500 millions de dollars avant le 1er mai. Si à cette date-là, nous n’avons pas les sommes nécessaires, nous serons obligés, soit de réduire de moitié nos rations, soit de diminuer de moitié le nombre de personnes que nous nourrissons. »
Mathieu Laine dans « Le Figaro » du 27 novembre 2009 : « L’élimination de la faim de la surface de la terre nécessiterait, selon le directeur général de la FAO, Jacques Diouf, 44 milliards de dollars par an d’aides publiques à investir dans les infrastructures, les technologies et les intrants modernes. Cette somme est, dit-il, modeste au regard des 1 340 milliards de dollars dépensés dans l’armement… »
Pascal Lamy, Directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) répondant à une interview dans « Les Echos » du 13 mai 2008 : Question posée : Le monde connaît une grave crise alimentaire. Comprenez-vous que des pays comme l’Argentine, la Chine ou l’Inde restreignent leurs exportations ? Réponse : En tant qu’économiste, j’estime qu’assécher l’offre va dans le mauvais sens. En tant qu’homme politique, je comprends. Les économistes voient cela globalement ; les politiques pensent à leur prochain mandat…. Cette crise alimentaire qui perdure en 2022 fait des millions de morts par an. Découverte en date du 8 03 22 sur WIKIPEDIA, cet adèpte de l'assèchement de l'offre qui fit et fait des millions de morts par an est, selon WIKIPEDIA en date du 8 03 22, président du Forum de Paris sur la paix depuis 2019...
LA STABILITÉ DE NOTRE AVENIR NE POURRA SE CONSTRUIRE QUE SUR DES BASES HUMANITY INVEST.
La finance ne pouvant continuer d'être régulée par certaines décisions politiciennes incompréhensibles (quid de l'éventuelle indépendance des ambitions politiques de certains décisionnaires ?), l'offre de produits financiers "sous information humainement responsable" doit devenir une offre complémentaire généralisée aux offres normatives actuelles. Offres normatives actuelles qui s'autorisent les propos et actions de monsieur LAMY.
Maintenant, je comprends mieux l'origine de la mise à mal de la société Edelweiss Gestion, suite à la délation mensongère du/des commissaire(s) aux comptes SELLAM de nos fonds. Délation sur base d'une simple erreur de règle de trois de la part du ou des délateur(s) commissaire(s) aux comptes SELLAM. Glorieux commissaire(s) aux comptes balance(s) SELLAM qui, sans nous avoir posé une seule question, nous ont balancé à l'Autorité des Marchés Financiers...sans nous avoir posé une seule question avant leur balance crapuleuse. Erreur crapuleuse qualifiée par ce balance de commaissaire aux comptes "une erreur d'input". Erreur d'input sur une simple erreur de règle de trois ... Quant aux nombreux avocats, qui ont écrit sur nous dans la presse, sans nous avoir poser une seule question... Que dire, si n'est acte crapuleux, ou acte indirect de recherche de clients
QUANT AUX NOMBREUX ARTICLES DE PRESSE (Y COMPRIS D'AVOCATS QUI SE TARGUENT D'ÊTRE DES DÉFENSEURS DES ÉPARGNANTS), LÀ AUSSI, CES BALANCES ( CRAPULES) NE NOUS AVAIENT POSÉ AUCUNE QUESTION AVANT LEUR DELATION MENSONGÈRE DANS LA PRESSE... (ÉVENTUEL "DÉMARCHAGE INDIRECT" ?) QUI AVAIENT TOUS COMME PARTICULARITÉ DE RÉPÉTER LES MÊMES MENSONGES... ÉVENTUELLEMENT, "COPAIN COMME COCHON ? " "COCHON OU PORC ?" CELA DIT, LA UNE RÉALITÉ GÉNÉTIQUE NE PEUT-ELLE ÊTRE SYNTHETISÉE PAR LE DICTON "LES CHIENS NE FONT PAS DES CHATS"
Aujourd'hui, rien a changé. Bien au contraire, tout a pris des proportions démultipliées.
Ainsi, lors des procès que nous avons eus dans une haute cour de justice, l'une des avocates de la partie adverse, voyant son dossier mal engagé, a cru bon de mentionner les propos d'une policière de la Brigade Financière qui nous étaient très défavorables. En réalité, il n'y avait jamais eu de policière, mais bien un policier des plus attentif et compétent qui n'avait jamais tenu ces propos... Quant aux propos inventés par l'avocate, la Cour ayant relevé leur incohérence n'a cependant pas jugé bon d'agir contre cette pourriture d'avocate. Cela ajouté à la présentation de faux présentés par des "professionnels" courtiers et conseils en gestion de patrimoine qui, en réalité, n'étant que des camelots et autres vendeurs d'arnaques financières, qui s'étaient trompés de nom de produit dans leur faux en écriture ... Et ce n'est pas une blague Belge. Tôt ou tard, Justice devra et sera rendue selon la devise "Oser toujours, céder parfois, renoncer jamais, faire payer toujours...pour le plus jamais ça." Comme on dit en Belgique, je leur dis "à tantôt"...Ce qui veut dire "Tôt ou tard, je serai en face de vous". Vous n'avez eu aucune limite dans vos ignominies... Vous avez été des pourritures, tôt ou tard, je serai en face de vous, et vous traiterai comme des pourritures, car vous n'avez toujours pas changé après des années de tromperies, perte de chance, abus de confiance et escroquerie des épargnants non avertis.
Pourquoi des propos aussi forts (mais Justes), parce que les Etats sont passés sous dépendances de multiples dérives et mensonges financiers de courtiers d'assurances, de conseils en gestion de patrimoine et autres charlatans financiers.



