Christian PIRE

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CHRISTIAN PIRE

Bienvenue,

Dès 1996 en Nouvelle Calédonie, je commençais à structurer mes connaissances et mes expériences (France, Suisse, Pacifique) en une réflexion globale.

En faisant cela, je ne me doutais pas que j'allais créer les bases d'une approche des cycles économiques et financiers plus qu'opérationnelle.

Cette approche qui à l'origine s'appelait ECOSOPOFI (ECOnomie, SOciologie, POlitique, FInance) se nomme aujourd'hui SOCIOECOPOFI (SOCIOlogie, ECOnomie, POlitique, FInance).

Si grâce à cette approche, j'ai anticipé ;
- la crise de 2000 (huit mois avant l'exubérance irrationnelle de d'Alan Greenspan dans un article publié dans Les Nouvelles Calédoniennes en date du 25 mars 1996), ICI
- toujours dans les Nouvelles Calédoniennes, j'ai écrit sur la reprise boursière de 2003 quelques jours avant qu'elle n'ait lieu IC
et mis en garde les professionnels avaient qui travaillaient avec Edelweiss Gestion (histoire de cette société de gestion de portefeuilles en fin de document) sur la crise de mi 2007/2008 en écrivant mensuellement mes craintes depuis janvier 2007 (voir ci-dessous)

HISTORIQUE DE PREVISIONS

Mes recherches et réflexions ont été publiées pour partie dans la presse en Nouvelle Calédonie dans le journal " Les Nouvelles Calédoniennes ", pays ou j’ai commencé à structurer l’ensemble des mes travaux au milieu des années 80. Pour les autres, tout est paru sur internet avec constat de huissier ou envoyés et visités par plusieurs centaines d’internautes professionnels ou non. Ces parutions rendent incontestable la réalité des propos tenus ci-dessous. Il faut rajouter des articles parus dans " Economie matin " en France et en Suisse dans " L'Agefi " ou "Le Temps"


- Mars 1996 (huit mois avant Alan Greenspan), j’indique que les marchés entrent dans un « poker menteur ». J'écris "Pour géré cette hausse, trois grandes décisions nous sont offertes : soit vendre nos titres boursiers et placer les capitaux (sans risque), soit ne rien faire et laisser venir la chute (ceci s'appelle une absence de gestion), soit capitaliser les plus-values que nous avons réalisées et rester sur les marchés boursiers grâce aux fonds indiciels. Je conseille de prendre des fonds indiciels à capital garanti et à cliquets réguliers." ICI

- Novembre 2002 et en mars 2003, à deux jours de la reprise, j’indique qu’il faut revenir sur les marchés sur les petites valeurs et en gestion directe ou avec des options. A cette époque la très grande majorité ne croyait pas à la reprise des marchés financiers eue égard au fort « refroidissement » occasionné par la bulle financière de 2000, la difficulté étant de discerner les cycles. ICI

- Janvier 2006, j’écris dans mon article sur la financiarisation : « Il reste aujourd’hui à nous protéger de la « financiarisation » excessive de l’économie qui, dans certains cas, consiste à reporter les risques financiers pris par les institutionnels (banque, compagnie d’assurance…) sur les particuliers. » « Ce jeu qui consiste à revendre les risques aux particuliers (sans qu’ils le sachent) est on ne peut plus dangereux » « L’économie financière qui a vu le retrait de beaucoup de sécurités mises en place après les krachs passés est en train de supplanter en bêtises l’économie politique basée sur l’inflation des biens et services. » « Tout comme il faut encadrer et surveiller le développement du nucléaire dans le monde, il faut encadrer et surveiller le développement du financier dans le monde. »

- Octobre 2006, je fais une mise garde contre les hedge funds et j’écris « Il n’y a bien que dans le monde financier que de tels paradigmes existent. Ce monde que les profanes croient technique et professionnel se révèle, dans bien des cas, un monde fait d’approximation, de comportements moutonniers, d’allégeance et le tout, sous l’encadrement et le contrôle d’entités étatiques ou « semi-étatiques ».

- Octobre 2006, je pose la question de l’évaluation des SICAV et FCP.
Evaluation qui va à l’encontre du principe de loyauté et d’information des épargnants, cela sans parler de la liquidité.

- Janvier 2007 (CAC à 5638), « Je vous propose de prendre au minimum vos bénéfices. Pour les plus dynamiques (dont je suis), je vous propose d’alléger considérablement votre exposition action (en clair, vendre une grande partie de votre portefeuille boursier) et attendre la phase de crainte (ou de peur) à venir qui provoquera une forte baisse. »

- Février 2007, je pose la question de la crédibilité des comparatifs de performances qui comparent des OPCVM qui ne sont pas évalués aux mêmes dates et qui oublient « la liquidité ».

- Mars 2007 (CAC à 5458), « Est-ce le moment de revenir sur les marchés ? En ce qui me concerne, je pense que c’est trop tôt. N’oubliez pas qu’en bourse, c’est le savoir vendre qui vous évite le cercle infernal d’être riche quand tout va bien et pauvre quand tout va mal. »

- Avril 2007 (CAC à 5858), « Les hausses de marché dues à des raisonnements moutonniers non réalisées par une vente ne sont qu’une image éphémère d’un mode de pensée court terme. C’est la situation actuelle. Prudence. »

- Mai 2007 (CAC à 6012), « Le seul problème est que les risques induits par les comportements moutonniers des marchés financiers sont toujours réels, d’une date et d’une ampleur imprévisible. Lorsqu’un marché monte de quelques pourcents alors qu’il n’y a que quelques titres d’échangés, il baissera de plusieurs dizaines de pourcents lorsque le marché sera à la baisse. Même si la baisse ne se fait qu’en septembre, je vous conseille d’attendre et de laisser passer le mirage afin de réinvestir à des cours normaux. »

- Septembre 2007, « Les marchés après avoir baissé du fait de la crainte qu’il n’y ait pas injection de capitaux par les banques centrales (ou par le biais d’une baisse des taux), se sont repris. Cette reprise est totalement décorrélée de la situation économique. »

- Novembre 2007 : « Je continue, pour l’instant, de vous conseiller de rester absent des marchés. Savoir acheter, c’est bien ; Savoir être absent des marchés apporte sécurité et sérénité ; Savoir vendre, c’est mieux et surtout primordial ; Savoir faire les trois, c’est très rare. »

- Octobre 2008 et décembre 2008, proposition de changement de système de cotation. Mon inquiétude est reprise par Patrick Artus dans un écrit de 2010. Concernant la gestion, il est clair que cette année du fait des aléas politiques européens plus que contradictoires a été une annus horribilis.

- Juillet 2009, j’explique comment l’Etat peut trouver des ressources sans augmenter son endettement. Au demeurant, ce projet n'a JAMAIS été contesté que qui ce soit, par l'AMF ou autres.

- Mai 2012 dans mon commentaire de l’article de Pascale Besses-Boumard dans « La Tribune » du 4 mai 2012 Article intitulé : Peut-on sauver le « soldat actions ? »

Mon commentaire : Quel meilleur moment qu’aujourd’hui alors que quantité de titres sont décotés ? Ce chemin pris, il sera consolidé, stupidement mais utilement dans ce cas, par les règles comptables actuelles. Il faut que les gérants de portefeuille cessent d’intervenir contre l’économie réelle. Il est impératif qu’ils redeviennent des acteurs/réalisateurs d’économie et non plus des spectateurs qui déstabilisent cette dernière par des raisonnements moutonniers dénués de tout sens des responsabilités Humaines. Cessons d’être des mercenaires financiers ! Mais où sont les gérants qui se vantent d’investir sur les fondamentaux ? Où sont les gérants qui pratiquent des investissements « mathématiques » via les produits structurés en taisant le fait que tôt ou tard, si le fruit de leurs cogitations tourne au vinaigre, ils devront attaquer (vendre) le sous-jacent (action) et qu’ils seront pris dans le krach systémique dont ils sont à l’origine ? Il est vrai qu’eux, auront pris leur commission et que le krach sera à la charge de leurs clients et ensuite des Etats (s’ils peuvent payer). Pour les uns, pourquoi n’investissent-ils pas dans les titres qui valent moins que leurs fonds propres ? Ne serait-ce pas parce que la mode des moutons aujourd’hui est d’aller sur certains pays ou certaines zones géographiques ? Pour les autres, ne serait-ce pas parce que la gestion « mathématique » permet de prendre des risques délirants en partant du principe qu’ils ne peuvent arriver ? Je ne parlerai pas du leurre des objectifs et du reste….

- Pourquoi aller investir sur des zones surcotées alors que nous avons des valeurs sous-cotées en Europe ?

- Pourquoi aller investir dans des zones surcotées qui elles, investissent en Europe à des prix « cassés » ?

- Pourquoi accélérer par ce flux de capitaux incohérents un transfert des conditions de travail applicable dans certains pays étrangers en Europe ?

- Pourquoi vouloir importer en Europe la productivité de certains pays, productivité basée sur des minimas Humains ? Pour rappel : Revue de presse du 3 mai « Un ancien directeur d’Apple expliquait comment la société a dû utiliser les services d’une usine chinoise pour modifier l’iPhone quelques semaines à peine avant que les produit ne soit mis en vente. Les nouveaux écrans sont arrivés à l’usine à minuit. Un contremaître a tiré des dortoirs de l’usine 8 000 ouvriers, explique le directeur d’Apple. Chacun a reçu un biscuit et une tasse de thé en se dirigeant vers son poste de travail. Les cas d’Apple illustre les raisons pour lesquelles il est si difficile aujourd’hui de créer des emplois pour la classe ouvrière. »

Et « Les Echos » dans un article de Marina Alcaraz du 31 décembre 2012 titre « Le CAC 40 signe en 2012 sa plus belle performance depuis 2009. »

- Juillet 2018 je propose de quitter les marché dans mon article paru en Suisse et en France " Que faut-il faire, vendre ou ne pas vendre ?"

- Décembre 2019 Dans mon article " De la singularité comptable à l’obligation d’habilité financière ?" du 10 juillet 2018 paru dans l’Agefi Suisse« Que faut-il faire, vendre ou ne pas vendre ?», j’indiquais qu’il fallait vendre. À cette date,le CAC était à 5434,36 et le18/12/19 à 5959,60 soitune progression de 9,66% en plus d’un an. Cette progression, pondérée par l’effet « booster » du 18/12/19 de plus de 98,95% de la norme comptable mark-to-market*, devient 0,10%.

Etc...

DERNIÈRES ÉVOLUTIONS DES IDÉES

A) Stabilisation des marchés financiers et des Etats avec le Fonds de Stabilisation Boursier : Ici

Concernant le Fonds de Stabilisation Boursiers dont l'idée a été émise en 2009 et quelques mois après sa parution en France et en Suisse en 2015, voir article ci-dessous :

Dans "Trends Tendances" Belgique du 14 août 2015 Article intitulé : La Chine va stabiliser ses Bourses "pendant des années"

" Les autorités chinoises, après avoir réalisé des achats massifs d'actions pour soutenir les Bourses locales après leur récente dégringolade, ne retireront pas leur soutien "pendant des années" afin de stabiliser les marchés, a assuré vendredi une autorité de régulation.
"Pour un certain nombre d'années à venir, le China Securities Finance Corp. (CSF, organisme étatique intervenant sur les places boursières pour le compte du gouvernement) ne se retirera pas", a indiqué la Commission chinoise de régulation des marchés financiers (CSRC).
"Sa fonction de stabilisation des marchés ne changera pas", a insisté le régulateur, dans un communiqué sur son compte officiel de microblogs.
Le CSF était sorti de l'ombre ces dernières semaines, en devenant un acteur crucial des mesures de soutien adoptées par le gouvernement pour stopper la spectaculaire débâcle des Bourses de Shanghai et Shenzhen.
Doté de fonds apportés par l'Etat et prêtés par de grandes banques commerciales publiques, le China Securities Finance Corp. s'était engagé dans de vastes programmes d'achats de titres sur les marchés. Dans les faits, l'opportunité pour la Chine est de mettre en place le Fonds de Stabilisation Boursier pour, d'une part, "tenir" les marchés et, d'autre part, mettre fin aux déstabilisations actuelles dues à l'amalgame entre Variation de la Spéculative du Jour (VSJ) et la Variation Humainement Responsable (VHR). Voir site www.agencedecotationihr.com
La crainte qu'il ne se retire prématurément avait entraîné le mois dernier une brusque rechute des indices, affolant les investisseurs.
L'annonce de vendredi apparaît donc comme une manière de rassurer tout à fait les petits porteurs (la grosse majorité des investisseurs sur les places chinoises) en leur garantissant l'appui durable des autorités aux marchés boursiers.
La banque d'investissement américaine Goldman Sachs avait estimé début août que le gouvernement chinois (notamment via les achats du CSF) avait dépensé jusqu'à 900 milliards de yuans (133 milliards d'euros) pour soutenir les Bourses. En différenciant la Spéculative du Jour (VSJ) et la Variation Humainement Responsable (VHR), quelques centaines de milliers d'euros voire moins suffisent.

Depuis plusieurs courriers ont été envoyés au ministre de l'Economie, etc...

ENSEMBLE COURRIERS SAISISSANT LES INSTITUTIONS D'ÉTAT

Quoi de plus instructif que l'histoire de courriers envoyés en RAR restés sans réponse ?

14) 26 10 22 COURRIER ENVOYE AU MINISTRE LE MAIRE

13) 04 11 21 COURRIER ENVOYÉ AU SENATEUR HUSSON

12) 04 11 21 COURRIER ENVOYÉ AU SENATEUR ALBERIC de MONTGOLFIER

11) 23 09 20 COURRIER ENVOYE AU CHEF DE CABINET DU MINISTRE DE L'ECONOMIE

10) 15 06 20 COURRIER ENVOYE AU CHEF DE CABINET DU MINISTRE DE L'ECONOMIE.

CET ECRIT A LA PARTICULARITE DE COMPRENDRE DEUX CONSTATS D'HUISSIER (DATANT DES 17 07 08 ET 02 10 08) PROUVANT L'ANTERIORITE DES ANALYSES, DES IDEES ET DEVELOPPEMENTS DE SOLUTIONS PRODUITS.

 
 
 

6) 26 06 19 COURRIER ENVOYE AU MINISTRE DE L'ECONOMIE BRUNO LE MAIRE

5) 04 04 19 LETTRE ENVOYEE AU MINISTRE BRUNO LE MAIRE

4) 15 10 18 LETTRE ENVOYEE AU MINISTRE BRUNO LE MAIRE

3) 05 06 18 LETTRE ENVOYEE AU MINISTRE DE L'ECONOMIE BRUNO LE MAIRE

2) 04 05 18 LETTRE ENVOYEE AU MINISTRE DE L'ECONOMIE BRUNO LE MAIRE

1) 24 04 18 LETTRE ENVOYEE AU MINISTRE DE L'ECONOMIE BRUNO LE MAIRE

23 07 14 COURRIER SECRETAIRE GENERAL DE L'ELYSEE

08 09 14 REPONSE À UN PROFESSIONNEL suite à la réponse AFG ci-dessous

30 06 14 REPONSE A L'AFG

19 06 14 REPONSE DE L'AFG

05 06 14 COURRIER COMPAGNIE NATIONALE DES COMMISSAIRES AUX COMPTES / AFG / AMF

20 05 14 COURRIER SECRETAIRE GENERAL DE L'ELYSEE

21 02 14 COURRIER JURIDIQUE DE LANCEUR D'ALERTE MINISTRE PIERRE MOSCOVICI

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 12 décembre 2013

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 25 octobre 2013 / AMF : Prix Nobel d'économie et/ou de la Paix

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 15 octobre 2013

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 9 septembre 2013

Libérez la gestion des professionnels et mise en place du Fonds de Stabilisation Boursier "Objectif 2016"

Réponse AMF courrier du 2 septembre 2013 en date du 10 septembre 2013

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 2 septembre 2013

Réponse AMF courrier du 2 septembre

10 06 11 AUPRES DE SON PRESIDENT JEAN-PIERRE JOUYET.

MONSIEUR JOUYET A REPONDU ETRE "PARTICULIEREMENT INTERESSE" EN DATE DU 24 08 11. Voir courrier de réponse

ET LA REPONSE DE SON SUCCESSEUR MONSIEUR RAMEIX, VIA MONSIEUR FRANCOIS DENIS DU PEAGE, QUI ECRIT "OPPORTUN" EN DATE DU 16 09 13. Voir courrier de réponse

Ces courriers prouvent indéniablement l'honnêteté des présidents Jean-Pierre JOUYET et Gérard RAMEIX. Pour les autres ... Force est de constater que, connaissant parfaitement les réalités décrites sur ce site, le pourventage des possibilités que les acteurs financiers et dits de la gestion de patrimoine couvrent volontairement une escroquerie très élevés

ARTICLE EDIFIANT SITE ORDRE DES EXPERTS COMPTABLES ET SITE "LACADEMIE.INFO" qui regroupe des instances telles l’AMF, la CIP, la CNCEF, la Cour d’appel de Paris, l’Ordre des avocats etc…

ECRITS

Nouveaux paradigmes d'analyse économique
14 août 2012

Et si certains ratios boursiers (PER, VAR, Price to Book) étaient faux ?
13 août 2012

Raisonner en flux comptables ou en dynamique financière ?
8 décembre 2010
???????

23 07 14 COURRIER SECRETAIRE GENERAL DE L'ELYSEE

08 09 14 REPONSE A UN PROFESSIONNEL suite à la réponse AFG ci-dessous

30 06 14 REPONSE A L'AFG

19 06 14 REPONSE DE L'AFG

05 06 14 COURRIER COMPAGNIE NATIONALE DES COMMISSAIRES AUX COMPTES / AFG / AMF

20 05 14 COURRIER SECRETAIRE GENERAL DE L'ELYSEE

21 02 14 COURRIER JURIDIQUE DE LANCEUR D'ALERTE MINISTRE PIERRE MOSCOVICI

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 12 décembre 2013

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 25 octobre 2013 / AMF : Prix Nobel d'économie et/ou de la Paix

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 15 octobre 2013

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 9 septembre 2013

Libérez la gestion des professionnels et mise en place du Fonds de Stabilisation Boursier "Objectif 2016"

Réponse AMF courrier du 2 septembre 2013 en date du 10 septembre 2013

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 2 septembre 2013

Réponse AMF courrier du 2 septembre

10 06 11 AUPRES DE SON PRESIDENT JEAN-PIERRE JOUYET.

MONSIEUR JOUYET A REPONDU ETRE "PARTICULIEREMENT INTERESSE" EN DATE DU 24 08 11. Voir courrier de réponse

ET LA REPONSE DE SON SUCCESSEUR MONSIEUR RAMEIX, VIA MONSIEUR FRANCOIS DENIS DU PEAGE, QUI ECRIT "OPPORTUN" EN DATE DU 16 09 13. Voir courrier de réponse

Ces courriers prouvent indéniablement l'honnêteté des présidents Jean-Pierre JOUYET et Gérard RAMEIX.

Libérez la gestion des professionnels et mise en place du Fonds de Stabilisation Boursier "Objectif 2016"

Réponse AMF courrier du 2 septembre 2013 en date du 10 septembre 2013

Courrier envoyé au Président de l'AMF en date du 2 septembre 2013

DERNIERES EVOLUTIONS DES IDEES

A) Stabilisation des marchés financiers et des Etats avec le Fonds de Stabilisation Boursier : Ici

Concernant le Fonds de Stabilisation Boursiers dont l'idée a été émise en 2009 et quelques mois après sa parution en France et en Suisse en 2015, voir article ci-dessous :

Dans "Trends Tendances" Belgique du 14 août 2015 Article intitulé : La Chine va stabiliser ses Bourses "pendant des années"

" Les autorités chinoises, après avoir réalisé des achats massifs d'actions pour soutenir les Bourses locales après leur récente dégringolade, ne retireront pas leur soutien "pendant des années" afin de stabiliser les marchés, a assuré vendredi une autorité de régulation.
"Pour un certain nombre d'années à venir, le China Securities Finance Corp. (CSF, organisme étatique intervenant sur les places boursières pour le compte du gouvernement) ne se retirera pas", a indiqué la Commission chinoise de régulation des marchés financiers (CSRC).
"Sa fonction de stabilisation des marchés ne changera pas", a insisté le régulateur, dans un communiqué sur son compte officiel de microblogs.
Le CSF était sorti de l'ombre ces dernières semaines, en devenant un acteur crucial des mesures de soutien adoptées par le gouvernement pour stopper la spectaculaire débâcle des Bourses de Shanghai et Shenzhen.
Doté de fonds apportés par l'Etat et prêtés par de grandes banques commerciales publiques, le China Securities Finance Corp. s'était engagé dans de vastes programmes d'achats de titres sur les marchés. Dans les faits, l'opportunité pour la Chine est de mettre en place le Fonds de Stabilisation Boursier pour, d'une part, "tenir" les marchés et, d'autre part, mettre fin aux déstabilisations actuelles dues à l'amalgame entre Variation de la Spéculative du Jour (VSJ) et la Variation Humainement Responsable (VHR). Voir site www.agencedecotationihr.com
La crainte qu'il ne se retire prématurément avait entraîné le mois dernier une brusque rechute des indices, affolant les investisseurs.
L'annonce de vendredi apparaît donc comme une manière de rassurer tout à fait les petits porteurs (la grosse majorité des investisseurs sur les places chinoises) en leur garantissant l'appui durable des autorités aux marchés boursiers.
La banque d'investissement américaine Goldman Sachs avait estimé début août que le gouvernement chinois (notamment via les achats du CSF) avait dépensé jusqu'à 900 milliards de yuans (133 milliards d'euros) pour soutenir les Bourses. En différenciant la Spéculative du Jour (VSJ) et la Variation Humainement Responsable (VHR), quelques centaines de milliers d'euros voire moins suffisent.

ARTICLE PARU DANS L'AGEFI SUISSE EN DATE DU 8 04 15

Que diriez-vous du BourseLeaks après HSBCLeaks et SwissLeaks ?

ARTICLE PARU DANS ECONOMIE MATIN EN DATE DU 5 02 15

Comment résoudre la crise grecque par les effet boursiers ?


Le régulateur a cependant précisé vendredi que le CSF n'interviendrait que durant les périodes de "volatilité".
"Quant des fluctuations violentes agitent le marché et peuvent entraîner des risques systémiques, le CSF continuera de jouer son rôle, qui est de stabiliser les marchés par de nombreux moyens", a expliqué Deng Ge, porte-parole de la CSRC, cité dans le communiqué.
La Bourse de Shanghai s'était envolée de 150% en l'espace d'un an, dopée par un endettement massif sous les encouragements du gouvernement, mais cette hausse euphorique déconnectée des réalités économiques s'était finalement essoufflée.
A partir de mi-juin, la place de Shanghai et celle de Shenzhen avaient violemment décroché, plongeant d'environ 30% en trois semaines.
Pékin avait progressivement adopté un vaste arsenal de mesures très interventionnistes pour arrêter la chute libre des indices.
Ainsi, les plus gros actionnaires, ceux possédant plus de 5% dans une entreprise cotée, se sont vus interdire de vendre leur participation, et les groupes publics empêchés de céder les titres de leurs filiales cotées.
De son côté, la banque centrale avait promis de fournir des liquidités à volonté pour financer les achats d'actions.
Avec l'AFP

B) Stabilisation du marché immobilier avec la fiscalité immobilière à géométrie variable© (notamment) ou fiscalité à géométrie variable Humaine et Humaniste© : Ici

Pour l'instant, pas d'évolution. Quoique..

Mathias Thépot dans "La Tribune" du 7 octobre 2015 : Logement à Paris : pourquoi le dispositif « Multiloc » fait consensus

" Pour mener sa politique du logement, Anne Hidalgo opte pour une logique de pacte avec le secteur privé
Les agents immobiliers soutiennent le dispositif « Multiloc » à Paris qui imposera des baisses substantielles de loyers pour les logements concernés. Mais en échange, la mairie sort son chéquier...
Surprise. Il serait donc possible de faire accepter aux professionnels de l'immobilier que soient mis en location plusieurs milliers de biens à des niveaux de loyers sensiblement en dessous du marché. La mairie de Paris pourrait en effet réussir ce « tour de force » par le biais du nouveau dispositif « Multiloc » qui a pour but de mettre sur le marché locatif des biens à des loyers de 20 % inférieurs aux loyers de marché, sous conditions de revenus du locataire. Les niveaux des loyers de marché sont calqués sur ceux déjà utilisés pour le dispositif qui encadre les loyers à Paris depuis le 1er août 2015. Adopté en conseil de Paris, « Multiloc » sera mis en œuvre dès cet automne.
Cibler les classes moyennes
Alors qu'on était habitué à des réactions (très) négatives des professionnels de l'immobilier face à ce type d'initiative ces dernières années, « Multiloc » ne semble en revanche pas susciter de levée de bouclier. Gilles Ricour de Bourgies, le président Fnaim Île-de-France, s'est par exemple récemment réjoui de la mise en place d'un dispositif qu'il juge « simple » et « qui cible les classes moyennes ».
Il faut dire que la principale innovation de « Multiloc » est de s'appuyer massivement sur le secteur privé. Les agents immobiliers seront ainsi chargés de prospecter les futurs logements « Multiloc ». Et ils seront rémunérés pour cette tâche par la ville de Paris à hauteur de 1.000 euros pour chaque logement pris en gestion, et 1.200 euros pour les logements vacants depuis plus de 6 mois.
Des aides de la Ville pour les propriétaires
Les propriétaires-bailleurs qui acceptent de louer leur bien à un loyer modéré se verront également octroyer une prime d'entrée de 2.000 euros au moment de la captation du logement. La mairie de Paris financera également « la prise en charge du financement de la garantie contre les risques locatifs (impayés, dégradation, frais de contentieux) ; la réalisation des travaux pour un montant maximal de 2.500 euros ; ainsi qu'une une prime spécifique pour la remise en état du logement, d'un montant maximal de 7.500 euros lorsque le logement est vacant depuis plus de 6 mois », est-il expliquer dans la délibération du conseil de Paris.
« Toutes ces aides permettront d'effacer l'effort consenti par les bailleurs pour réduire leur loyer », explique Gilles Ricour de Bourgies. De plus, « les professionnels de la gestion locative seront les seules habilités à distribuer le produit Multiloc », se réjouit-il. Bref, la mairie de Paris versera au minimum 3.000 euros pour chaque bien immobilier mis en location dans le cadre de « Multiloc », un tiers au propriétaire et deux tiers à l'agence immobilière. Pour rassurer les administrés face à ces dépenses qui font débat, les services de la Ville assurent qu'ils superviseront le dispositif et contrôleront le respect des conditions posées aux propriétaires et aux professionnels.

Capter les logements vacants
Initialement, l'initiative Mutliloc, un engagement de campagne de la maire Anne Hidalgo, devait en fait cibler principalement les logements vacants de la capitale dont le nombre oscille entre 30.000 et un peu plus de 100.000 selon les différentes estimations. Or jusqu'ici, « toutes les expériences visant à capter des logements vacants à Paris (souvent basées sur un principe de pénalisation financière des propriétaires réticents à louer ndlr) ont échoué », explique Ian Brossat, adjoint au maire chargé du logement.
La Ville de Paris a donc décidé de jouer la carte de l'incitation. Même si subventionner des propriétaires afin qu'ils remettent leur bien sur le marché, alors qu'ils ont pour beaucoup grandement bénéficié de l'explosion des prix de l'immobilier dans la capitale depuis 15 ans, pourrait choquer au sein de la majorité municipale...
Pacte avec le secteur privé
Il est enfin intéressant d'analyser les réactions opposées des professionnels de l'immobilier face à la mise ne place d'un côté, de « Multiloc », et de l'autre, de l'encadrement des loyers de la loi Alur, portée par l'ancienne ministre du Logement Cécile Duflot qui entretenait des relations très compliqués avec le milieu. Car les plafonds de loyers sont en fait largement supérieurs avec l'encadrement des loyers. Or cette mesure déplait fortement.
Certes, « Multiloc » ne concernera d'ici la fin de la mandature d'Anne Hidlago « que » quelques milliers de logements, alors que l'encadrement des loyers qui s'applique à Paris s'étend à tous le parc locatif privé de la capitale. Mais force est de constater que les professionnels de l'immobilier peuvent adouber une baisse des loyers, fortement soutenue par l'Etat. Donc mis à charge des citoyens fiscalisés souvenez-vous : Fiscalité à géométrie variable
Cette mesure est en fait révélatrice de la vision du logement de la nouvelle maire de Paris Anne Hidalgo : mener une politique assez proche de celle jadis voulue au niveau national par Cécile Duflot lorsqu'elle était ministre, tout en veillant, à l'inverse de l'ancienne ministre, à ne pas casser les liens avec le secteur privé. Reste à savoir si cette stratégie sera gage de succès.

C) Stabilisation boursière : Mise en place d'un double système de cotation boursier avec la cotation boursière en Variation Spéculative du Jour (VSJ) et en Variation Humainement Responsable (VHR)© : Ici

Pour l'instant, pas d'évolution.???????

ARTICLE PARU DANS L'AGEFI SUISSE EN DATE DU 8 04 15

Que diriez-vous du BourseLeaks après HSBCLeaks et SwissLeaks ?

ARTICLE PARU DANS ECONOMIE MATIN EN DATE DU 5 02 15

Comment résoudre la crise grecque par les effet boursiers ?


Le régulateur a cependant précisé vendredi que le CSF n'interviendrait que durant les périodes de "volatilité".
"Quant des fluctuations violentes agitent le marché et peuvent entraîner des risques systémiques, le CSF continuera de jouer son rôle, qui est de stabiliser les marchés par de nombreux moyens", a expliqué Deng Ge, porte-parole de la CSRC, cité dans le communiqué.
La Bourse de Shanghai s'était envolée de 150% en l'espace d'un an, dopée par un endettement massif sous les encouragements du gouvernement, mais cette hausse euphorique déconnectée des réalités économiques s'était finalement essoufflée.
A partir de mi-juin, la place de Shanghai et celle de Shenzhen avaient violemment décroché, plongeant d'environ 30% en trois semaines.
Pékin avait progressivement adopté un vaste arsenal de mesures très interventionnistes pour arrêter la chute libre des indices.
Ainsi, les plus gros actionnaires, ceux possédant plus de 5% dans une entreprise cotée, se sont vus interdire de vendre leur participation, et les groupes publics empêchés de céder les titres de leurs filiales cotées.
De son côté, la banque centrale avait promis de fournir des liquidités à volonté pour financer les achats d'actions.
Avec l'AFP

B) Stabilisation du marché immobilier avec la fiscalité immobilière à géométrie variable© (notamment) ou fiscalité à géométrie variable Humaine et Humaniste© : Ici

Pour l'instant, pas d'évolution. Quoique..

Mathias Thépot dans "La Tribune" du 7 octobre 2015 : Logement à Paris : pourquoi le dispositif « Multiloc » fait consensus

" Pour mener sa politique du logement, Anne Hidalgo opte pour une logique de pacte avec le secteur privé
Les agents immobiliers soutiennent le dispositif « Multiloc » à Paris qui imposera des baisses substantielles de loyers pour les logements concernés. Mais en échange, la mairie sort son chéquier...
Surprise. Il serait donc possible de faire accepter aux professionnels de l'immobilier que soient mis en location plusieurs milliers de biens à des niveaux de loyers sensiblement en dessous du marché. La mairie de Paris pourrait en effet réussir ce « tour de force » par le biais du nouveau dispositif « Multiloc » qui a pour but de mettre sur le marché locatif des biens à des loyers de 20 % inférieurs aux loyers de marché, sous conditions de revenus du locataire. Les niveaux des loyers de marché sont calqués sur ceux déjà utilisés pour le dispositif qui encadre les loyers à Paris depuis le 1er août 2015. Adopté en conseil de Paris, « Multiloc » sera mis en œuvre dès cet automne.
Cibler les classes moyennes
Alors qu'on était habitué à des réactions (très) négatives des professionnels de l'immobilier face à ce type d'initiative ces dernières années, « Multiloc » ne semble en revanche pas susciter de levée de bouclier. Gilles Ricour de Bourgies, le président Fnaim Île-de-France, s'est par exemple récemment réjoui de la mise en place d'un dispositif qu'il juge « simple » et « qui cible les classes moyennes ».
Il faut dire que la principale innovation de « Multiloc » est de s'appuyer massivement sur le secteur privé. Les agents immobiliers seront ainsi chargés de prospecter les futurs logements « Multiloc ». Et ils seront rémunérés pour cette tâche par la ville de Paris à hauteur de 1.000 euros pour chaque logement pris en gestion, et 1.200 euros pour les logements vacants depuis plus de 6 mois.
Des aides de la Ville pour les propriétaires
Les propriétaires-bailleurs qui acceptent de louer leur bien à un loyer modéré se verront également octroyer une prime d'entrée de 2.000 euros au moment de la captation du logement. La mairie de Paris financera également « la prise en charge du financement de la garantie contre les risques locatifs (impayés, dégradation, frais de contentieux) ; la réalisation des travaux pour un montant maximal de 2.500 euros ; ainsi qu'une une prime spécifique pour la remise en état du logement, d'un montant maximal de 7.500 euros lorsque le logement est vacant depuis plus de 6 mois », est-il expliquer dans la délibération du conseil de Paris.
« Toutes ces aides permettront d'effacer l'effort consenti par les bailleurs pour réduire leur loyer », explique Gilles Ricour de Bourgies. De plus, « les professionnels de la gestion locative seront les seules habilités à distribuer le produit Multiloc », se réjouit-il. Bref, la mairie de Paris versera au minimum 3.000 euros pour chaque bien immobilier mis en location dans le cadre de « Multiloc », un tiers au propriétaire et deux tiers à l'agence immobilière. Pour rassurer les administrés face à ces dépenses qui font débat, les services de la Ville assurent qu'ils superviseront le dispositif et contrôleront le respect des conditions posées aux propriétaires et aux professionnels.

Capter les logements vacants
Initialement, l'initiative Mutliloc, un engagement de campagne de la maire Anne Hidalgo, devait en fait cibler principalement les logements vacants de la capitale dont le nombre oscille entre 30.000 et un peu plus de 100.000 selon les différentes estimations. Or jusqu'ici, « toutes les expériences visant à capter des logements vacants à Paris (souvent basées sur un principe de pénalisation financière des propriétaires réticents à louer ndlr) ont échoué », explique Ian Brossat, adjoint au maire chargé du logement.
La Ville de Paris a donc décidé de jouer la carte de l'incitation. Même si subventionner des propriétaires afin qu'ils remettent leur bien sur le marché, alors qu'ils ont pour beaucoup grandement bénéficié de l'explosion des prix de l'immobilier dans la capitale depuis 15 ans, pourrait choquer au sein de la majorité municipale...
Pacte avec le secteur privé
Il est enfin intéressant d'analyser les réactions opposées des professionnels de l'immobilier face à la mise ne place d'un côté, de « Multiloc », et de l'autre, de l'encadrement des loyers de la loi Alur, portée par l'ancienne ministre du Logement Cécile Duflot qui entretenait des relations très compliqués avec le milieu. Car les plafonds de loyers sont en fait largement supérieurs avec l'encadrement des loyers. Or cette mesure déplait fortement.
Certes, « Multiloc » ne concernera d'ici la fin de la mandature d'Anne Hidlago « que » quelques milliers de logements, alors que l'encadrement des loyers qui s'applique à Paris s'étend à tous le parc locatif privé de la capitale. Mais force est de constater que les professionnels de l'immobilier peuvent adouber une baisse des loyers, fortement soutenue par l'Etat. Donc mis à charge des citoyens fiscalisés souvenez-vous : Fiscalité à géométrie variable
Cette mesure est en fait révélatrice de la vision du logement de la nouvelle maire de Paris Anne Hidalgo : mener une politique assez proche de celle jadis voulue au niveau national par Cécile Duflot lorsqu'elle était ministre, tout en veillant, à l'inverse de l'ancienne ministre, à ne pas casser les liens avec le secteur privé. Reste à savoir si cette stratégie sera gage de succès.

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