Artices révoltants matières 1er

MATIÈRES PREMIÈRES

PROPOS OFFICIELS : REVOLTANTS OU PRAGMATIQUES ?

Quelque soit votre réponse à cette question, les répercussions de ces propos sont toutes des destructions humaines et mènent toutes à des conflits et des guerres répétitives.

Ironie de ces destructions humaines volontaires, elles ont toutes comme point commun, en dehors de l'diotie et la corruption financière, l'application sans discernement de la règle comptable mark-to-market dans le monde de la finance.

Un simple choix comptable et un peu plus d'humanité suffiraient à éradiquer la majorité des crises financières et humaines.

NOTRE AVENIR NE POURRA SE CONSTRUIRE QUE SUR DES BASES HUMANITY INVEST.

DEPUIS, RIEN N'A CHANGÉ ... SAUF CERTAINES ATTAQUES JURIDIQUES DÉSORMAIS POSSIBLES POUR LA REPRISE DE TELS PROPOS.

Mathieu Laine dans « Le Figaro » du 27 novembre 2009 : « L’élimination de la faim de la surface de la terre nécessiterait, selon le directeur général de la FAO, Jacques Diouf, 44 milliards de dollars par an d’aides publiques à investir dans les infrastructures, les technologies et les intrants modernes. Cette somme est, dit-il, modeste au regard des 1 340 milliards de dollars dépensés dans l’armement… »

Pascal Lamy, Directeur général de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) répondant à une interview dans « Les Echos » du 13 mai 2008 : Question posée : Le monde connaît une grave crise alimentaire. Comprenez-vous que des pays comme l’Argentine, la Chine ou l’Inde restreignent leurs exportations ? Réponse : En tant qu’économiste, j’estime qu’assécher l’offre va dans le mauvais sens. En tant qu’homme politique, je comprends. Les économistes voient cela globalement ; les politiques pensent à leur prochain mandat….

2007 : Tamara Kummer, Porte-parole du Programme alimentaire mondial (PAM), le « grenier des Nations unies »   

          «  Nous distribuons quatre millions de tonnes de vivres par an à 73 millions de personnes dans 78 pays. L’augmentation  de 55 % de nos coûts, depuis juin 2007, a provoqué un manque à gagner, qui nécessite de réunir 500 millions de dollars avant le 1er mai. Si à cette date-là, nous n’avons pas les sommes nécessaires, nous serons obligés, soit de réduire de moitié nos rations, soit de diminuer de moitié le nombre de personnes que nous nourrissons. »