Zététique

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ZETETIQUE

 

Adrien de Tricornot dans "Le Monde" du 1& février 2015 Article intitulé : L’université de Grenoble réhabilite l’art du doute

"Pour former l’esprit critique des étudiants, l’université Joseph-Fourier (UJF), à Grenoble, a dû pousser les murs. Son cours de « Zététique & autodéfense intellectuelle »– le premier terme désignant l’art de douter – a déménagé dans l’amphithéâtre Weil au cours du premier semestre, le plus grand avec ses 900 places. Et il s’est ouvert à l’ensemble des étudiants de licence 1 et 2 des universités Grenoble-Alpes (Joseph-Fourier, Stendhal, Pierre-Mendès-France), ainsi que ceux de Sciences Po Grenoble. Au menu : décortiquer les thérapies bidon, les « pseudo-sciences » – y compris politiques –, le paranormal, les mécanismes de l’illusion, les manipulations en tout genre – des médiatiques aux sectaires –, la propagande… Ou du moins en donner des clés. Pour comprendre comment les politiques et les flics ont manipulé le dossier "Charlie" Certains étudiants ont choisi cette « unité d’enseignement transversal » dans leur cursus, d’autres assistent en auditeurs libres à ce cours-événement. Les ressources pédagogiques sont aussi mises à disposition librement en ligne. De plus en plus d’étudiants recherchent en effet ce regard critique. « On complexifie cette envie, on l’outille, on leur fait se méfier du goût assez intuitif des complots et on les entraîne à la recherche rationnelle d’informations », explique Richard Monvoisin, qui enseigne depuis dix ans la zététique. Premier docteur en didactique des sciences sur le sujet de la zététique en 2007, il est un des piliers du Collectif de recherche transdisciplinaire esprit critique et sciences (Cortecs), dont les cours essaiment avec Clara Egger, à Sciences Po Grenoble, et au-delà avec Denis Caroti, à Marseille, ou Guillemette Reviron, à Montpellier. Depuis septembre 2012, Richard Monvoisin occupe un poste unique dans l’université française : chargé de mission « Sciences, critique & sociétés » auprès du président de l’UJF. « Patrick Lévy et nous nous battons pour monter une jeune équipe spécifique “esprit critique” », explique M. Monvoisin. « Nous sommes sur un site de fort développement technologique : tout ce qui peut donner un peu d’esprit critique à tous les champs disciplinaires est bienvenu », explique le président de l’UJF, qui souligne aussi l’intérêt « d’une démarche citoyenne qui a énormément de succès auprès des étudiants ». Je propose que l'on oblige la flicaille de Béziers à y assister ainsi que les autres flicailles et notamment celles qui tirent, dans la plus pure tradition nazie française, à armes offensives sur des gosses désarmés etc.... Naturellement, je parle bien de la flicaille et non des policiers ou des gendarmes qui travaillent dans l'Honneur, la Dignité et le respect de leur mission en osant s'élever contre certaines pratiques. Comme toujours, comment faire la différence entre le bon et la "merde"....
Depuis les attentats de Paris des 7, 8 et 9 janvier, les cours de M. Monvoisin n’ont pas encore repris. « J’ose espérer que les étudiants ont appliqué un de nos préceptes : ne pas se laisser aller dans le battage médiatique, et attendre que les choses se redéposent, comme le limon, pour traiter les choses rationnellement et non affectivement », dit-il. Qu’en ont-ils retenu, justement ?
Benoît Arnould, vice-président étudiant de l’UJF, se souvient d’avoir appris « comment détecter les techniques de manipulation les plus courantes et l’impact qu’elles ont eu. Par exemple, la façon de poser des questions dans un sondage téléphonique et le résultat sur les réponses. Ou, dans les médias, le rôle de l’omniprésence de l’information. Cela fonctionne beaucoup dans les périodes où aucun autre événement ne parvient à percer ». Une forme de « saturation » et « d’objet unique » sur les écrans offre alors des éléments très nombreux, partiels ou non vérifiés « sur lesquels peuvent s’appuyer des théories du complot, dont les formes les plus courantes nous avaient été présentées en cours », se rappelle l’étudiant, aujourd’hui en troisième année de chimie-biologie.
« Ce qui m’a fait réagir, c’est toutes les informations données au conditionnel dans les médias, abonde Astor Bizard, étudiant en deuxième année de mathématiques et informatique. Je me suis dit : quand il y aura une certitude, peut-être que je pourrai y accorder crédit. Car le doute ne conduit pas au complotisme. Il pousse à réfléchir. Si les sources sont fiables et vérifiables, il n’y a aucune raison de douter de ce que dit un média. » Benjamin Roelandt, étudiant en deuxième année de licence d’informatique, note, lui, que le processus de radicalisation des auteurs des attentats « faisait penser au principe des sectes : ils croisent les mauvaises personnes au mauvais moment, lors d’un choc psychologique : par exemple, ils se retrouvent dans la même prison que quelqu’un qui connaît des techniques de manipulation. Le professeur en a expliqué quelques-unes : demander beaucoup, puis ensuite juste un petit peu et, après, ça passe…, et terminer ses phrases par“je vous laisse libre de votre choix”, ce qui donne deux à trois fois plus de chances d’accepter ».
Comme beaucoup de ses condisciples, Astor Bizard souligne l’originalité de l’approche. « Je suis loin d’être passionné d’histoire, mais le fait d’aborder les erreurs qui peuvent exister dans les livres d’histoire m’a plu. » Ce qui l’a le plus surpris, c’est l’évaluation en groupe. Un travail critique a été demandé sur un article dans une publication scientifique : l’hypothèse débouchait-elle sur un résultat ? Les quatre étudiants sont venus argumenter dans le bureau de Richard Monvoisin, qui a débattu avec eux, avant de leur demander quelle note ils pensaient mériter. « On n’en avait pas la moindre idée : est-ce que ça valait 8 ou 14 ? Finalement, on a eu 14 et c’est ce qui nous a semblé le plus juste, une fois la surprise passée. »
Aujourd’hui, il n’existe plus de laboratoire spécialisé en recherche zététique en France. Le collectif Cortecs est l’héritier des cours interdisciplinaires du professeur Henri Broch – un des parrains et des conseils du Cortecs. Son laboratoire de zététique à Sophia-Antipolis (Alpes-Maritimes), où Richard Monvoisin avait fait sa thèse, n’assure plus d’enseignements universitaires. Grenoble pourrait reprendre ce flambeau. Zététique ou « art du doute » est ainsi définie par un article de Richard Monvoisin dans l’Observatoire zététique : « Dérivant du verbe grec zêtein (chercher), la zététique désigne, au IIIe siècle avant l’ère chrétienne, le “refus de toute affirmation dogmatique” (école de Pyrrhon). Utilisé par Montaigne, Viète, Thomas Corneille, le mot échoue dans le Littré de 1872 puis dans le Larousse de 1876 comme “nuance assez originale du scepticisme : c’est le scepticisme provisoire, c’est (…) considér[er] le doute comme un moyen, non comme une fin, comme un procédé préliminaire, non comme un résultat définitif”. Le mot est finalement repris dans les années 1980 pour désigner l’enseignement critique en question ».

Souvenez-vous :

Calculette dans "Economie matin" du 23 janvier 2015 Article intitulé : Attentat Charlie : REVELATIONS stupéfiantes sur l'implication de l'Elysée

" Il y a à peine plus d'un an, un courrier émanant de l'Élysée charge des médias du Maghreb de publier "Chienly Hebdo : Le Pompier-Pyromane de la Maghrébophobie" un brûlot qui  dénonce les prétendus "islamophobie" et "racisme" de Charlie Hebdo, le désormais célèbre journal satirique français ultra gauche. C'est ainsi que des conseillers de Hollande se sont livrés à une véritable incitation à la haine, voire pire quand on connait la barbarie de l'islam radical. La suite, on la connait… Tout commence le 4 décembre 2013 : le journaliste d'investigation et grand reporter Laurent Léger de Charlie-Hebdo publie "Les gros caprices du conseiller de Hollande" une enquête sur Faouzi Lamdaoui, éminence grise de Hollande, son "couteau suisse, celui sans qui rien ne se fait" dit-on alors au Palais. 
Il y dévoile son goût immodéré pour "les joujoux de la République" ainsi que l'affaire Mohamed Belaïd, ce jeune socialiste exploité comme chauffeur à plein temps et non rémunéré de Hollande.  (Une plainte avec constitution de partie civile contre Hollande et Lamdaoui pour "travail dissimulé" et  "menaces et intimidations visant une victime" avait été déposée en mars 2013) Outre son intimité avec le Président socialiste, Lamdaoui, ce Raspoutine franco-algérien du PS qui a "dressé" Hollande (Hollande à l'école de la "falotcratie") et provoquait tant d'admiration de la part des médias algériens comme El Watan, occupe alors la fonction de "conseiller à l'égalité et à la diversité" avant d'être poursuivi par l'Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) et contraint de se mettre au vert le 3 décembre 2014. A mi-mandat, Faouzi Lamdaoui est donc le cinquième du cercle rapproché de François Hollande à démissionner, après Jérôme Cahuzac pour fraude fiscale, Kader Arif pour favoritisme, Aquilino Morelle pour conflit d'intérêt et Thomas Thévenoud pour "phobie administrative" ! Dans le même temps, à la rubrique  "Les Unes auxquelles vous avez échappé" du n°1115 du 30 octobre 2013 Charlie parodiait un trac du FN avec une Taubira en singe et au cas où on n'aurait pas compris le message, Charb ajoutait "À force d'associer le nom de Mme Taubira aux mots 'banane' et 'singe', l'extrême droite raciste espère faire passer un slogan raciste, une insulte colonialiste pour une blague populaire."
Il n'empêche, Charlie poursuivra innocemment sa croisade anti-religion, anti-raciste et anti-droite, destinée aux happy few du boboland parisien. Alors que de très lourdes sanctions pénales seront infligées aux auteurs d'autres allusions simiesques, étrangement Taubira ne manifestera pas le moindre agacement vis-à-vis de Charb. Charlie Hebdo soutenant Hollande, rongeait-elle son frein ? 

Et c'est ainsi qu'un mois plus tard, le 27 novembre 2013 une riposte cinglante de l'Élysée parvient aux journaux d'Algérie, de Tunisie, du Maroc, et en France aux sites destinés au maghrébins tel Maglor.fr. dont le siège est à Nancy. 
Mustapha Saha "sociologue poète" selon l'Huma, ce collaborateur attentionné de l'éminence grise Faouzi Lamdaoui, publie sous le pseudo "Arlette Colin" un brûlot haineux et mensonger contre le journal satirique intitulé "CHIENLY HEBDO : Le Pompier Pyromane de la Maghrébophobie" et dont on ne retrouve qu'une copie d'écran datant 29 novembre 2013 qui a miraculeusement échappé au grand nettoyage de la scène du crime. 

Le harcèlement est à son comble et le 5 décembre 2013, Laurent Léger se fâche. Tout en essayant de disculper Hollande "ce zélé personnage ne perd pas son temps à monter à l'assaut des contempteurs du chef de l'Etat, qui pourtant n'en manque pas", il accuse vertement la Présidence de la République dans son article "Les attaques contre Charlie Hebdo venaient de l'Élysée" :
"Après la publication d'une enquète sur Faouzi Lamdaoui, un conseiller de Hollande, Charlie a été la cible d'articles dans les médias algériens, accusant notre journal des maux les plus délirants. Des articles téléguidés depuis... la présidence de la République ! Révélations..." écrit-il et il démontre.

D'après le LabEurope1, Faouzi Lamdaoui sera convoqué par Pierre-René Lemas secrétaire général de la présidence de la République française (et accessoirement énarque de la célèbre promo Voltaire). Évidemment, Lamdaoui jurera "les yeux dans les yeux" n'être au courant de rien. Or on sait pertinemment dans ce microcosme, que jamais Saha n'aurait pris une quelconque initiative sans son patron ! 

Que faut-il retenir ?
    •    Charlie a été trahi par son propre camp, livré à la vindicte musulmane et par voie de conséquence au sabre islamiste : pour régler leurs comptes, ces mafieux qui gravitent autour de la Présidence ont exploité l'idéologie islamiste au détriment de leur solidarité socialo-marxiste.
    •    Le contenu haineux de ce billet émane de l'entourage direct de Hollande, comme l'expliquait par le détail Laurent Léger dans "Les attaques contre Charlie Hebdo venaient de l'Elysée " avant que la rédaction du journal ne soit décimée: la semaine dernière, la preuve est donc arrivée à la reÌdaction de Charlie. Mustapha Saha, si fier de sa prose, l'avait balanceée par mail à un tas de copains, et nous avons fini par récupérer ce texte, finement titré ‘Charlie Hebdo persiste dans son dénigrement raciste'."
    •    Le choix machiavélique des supports de diffusion exclusivement maghrébins en Algérie, Tunisie, au Maroc mais également à Nancy sur le site MAGLOR.FR "Média des magrébins du monde, il permet aussi aux Français d'avoir une porte ouverte sur l'actualité maghrébine.", la lâcheté du mail de l'Élysée commençant par la mention: "Confidentiel. A paraître sous un autre nom", et surtout les moyens redoutables dans le soin apporté à la disparition de ces documents témoignent de la nécessité politique de dissimuler la volonté de nuire des collaborateurs élyséens.
    •    Pour démultiplier l'impact auprès des musulmans qui ignorent tout de Charlie Hebdo (petit journal qui tire habituellement à 45.000 exemplaires avec 10.000 abonnés), on tait la cathophobie autrement plus présente et virulente de Charlie et sa judéophobie. Surtout ne minimisons pas le "blasphème" Après tout, Charlie n'est qu'un nid de kafirs* !  Mieux encore pour l'amalgame dont ils savent si bien user et abuser, une couche de "racisme anti-Taubira" fera merveille.
    •    Quant à Taubira justement, est-ce à son insu qu'elle figure aux côtés de Lamdaoui  dans l'article incendiaire de l'Élysée ? Aurait-t-elle, elle aussi, trouvé dans cette propagande délétère anti-Charlie à destination des islamistes, l'occasion d'exercer sans en avoir l'air, sa vengeance qu'on sait implacable ? Innombrables sont les questions sur les intentions réelles de cette indépendantiste guyanaise et son maintien à la tête de la Chancellerie malgré les scandales répétitifs.  Il faut savoir que dans cette mafia rose et verte, Sihem Souid est une intime à la fois de Taubira et de Lamdaoui. Elle qui critiquait Valls et sa "cohorte d'islamophobes", s'est distinguée en s'acharnant sur la compagne de Charb, le patron assassiné de Charlie Hebdo, déversant son fiel sur une Jeannette Bougrab terrassée par la douleur.
    •    Avec la complicité passive de nombreux juges rouges et la complaisance irresponsable de Taubira, la terreur islamiste est bien armée. Il faut en effet souligner le point commun entre les terroristes Chérif Kouachi (12 victimes), Amedy Coulibaly (6 victimes), Mehdi Nemmouche (4 victimes) ainsi que Mohamed Merah (6 victimes): outre leur parcours islamiste, ce sont "des criminels multirécidivistes qui ont bénéficié pendant toute leur vie du laxisme et des failles béantes de notre justice pénale. Tous les quatre auraient dû être en prison au moment de leurs attentats. Si notre système pénal fonctionnait normalement, toutes les victimes de ces terroristes seraient encore en vie aujourd'hui."comme le démontre ICI Laurence Havel, directrice de l'Institut pour la Justice. Concernant la "marche républicaine" du dimanche 11 janvier, si l'émotion populaire était sincère... on comprend mieux l'amertume de Laurent Léger rescapé du carnage qui, bien que socialiste, laissait éclater son dégoût : "C'est le bal des faux culs. Je pensais que c'était mieux de ne pas y aller.(...) Je n'avais pas envie de serrer la main des ministres. Je n'en veux pas à Pelloux mais moi je ne l'aurais pas embrassé [Hollande]". 

Cahuzac, Arif, Morelle, Thévenoud, et là Lamdaoui avec Saha, Taubira avec Sihem... Hollande démontre une fois de plus son incompétence crasse en s'entourant de gens peu recommandables (c'est un euphémisme).

En désignant ce petit hebdomadaire satirique aux médias musulmans, l'Élysée a sciemment attisé la haine vis-à-vis Charlie Hebdo et préparé le terrain aux assassins. Et le plus incroyable dans ce drame, c'est que ses services de relations publiques ont retourné l'horreur à l'avantage du locataire de l'Élysée : Hollande décroche 21 points au grattage de Charlie Hebdo, la farce continue !" 

*Le terme arabe "kafir" désigne le non-musulman "mécréant, incroyant, ingrat, infidèle"

*L'ensemble des sources, documents et copies-d'écran accessibles par liens sur l'enquête, est également rassemblé ICI

©Calculette sur www.revolte.exprimetoi.com

ET

En 2010 voir sur ce site : http://www.socioecopofi.com/pages/comprendre-notre-economie/divers/police.php

POLICE

Je tiens à dire toute mon admiration pour les policiers qui ont manifesté leur mécontentement contre la politique du résultat qui leur est imposée. Leur faible nombre nous donne une idée du nombre d’entre eux qui résisteraient aux dérives connues en 40/45, car pour faire ce qu’ils ont fait en temps de paix et dans l’indifférence de quantité de civils, il faut indéniablement avoir un haut sens de l’honneur. C’est bien un acte de bravoure désintéressé qu’ils ont fait. Acte qui met indéniablement en jeu leur vie personnelle et familiale. En ce qui me concerne, je les remercie et leur transmets mon plus profond respect. J’ai une pensée pour les CRS qui sont venus cet été sur Annecy et dont la présence est remise en cause pour l’année prochaine car « ils n’ont pas été assez répressifs ».

Meilleurs voeux à vous et à vos familles.

Revue de presse concernant la police

Michel Verrier, dans "La Croix" du 27 janvier 2010 en page 3 :


Article intitulé : Les syndicats mettent en cause la « politique du chiffre ».
" Le plus souvent, « la politique du chiffre » dénoncée par les syndicats policiers consiste à faire monter des astuces statistiques les taux d’élucidation d’affaires. Ainsi, début décembre, quelques milliers de policiers ont manifesté à l’appel de l’Union SGP-FO/Unité police, majoritairement chez les gardiens de la paix, pour dénoncer des pressions de la hiérarchie. « Nous protestons contre ces méthodes depuis plusieurs années, indique Yannick Danio, délégué national de l’Union.  « On va par exemple demander aux policiers de forcer sur les timbres-amendes, les gardes à vue ou les interpellations de petits consommateurs de stupéfiant » Selon le syndicaliste, la police est de plus en plus gérée « comme une entreprise », ce qui entraîne une « crise sociale et humaine » dans ses rangs. »

Mais aussi :

Dans "SudOuest.fr" du 29 novembre 2014 Article intitulé : Nazisme dans la police : un rapport interne pointe plusieurs cas

" Selon un rapport obtenu par l'hebdomadaire le Point, des policiers ont été identifiés comme faisant l'apologie du nazisme Une femme CRS s'était déjà plainte d'attitudes sexistes et racistes de la part de ses collègues, dont l'un d'entre eux portait un insigne SS sur son casque CRS SS tueurs de gosses ?
Insignes de SS, slogans vantant Hitler et le IIIe Reich... Un jeune policier d'Ile-de-France tombe des nues lorsqu'il découvre ces inscriptions d'un genre particulier sur les portables et les ordinateurs de ses collègues. Il décide d'en alerter ses supérieurs, qui lui commandent un rapport. C'est sur ce document interne que l'hebdomadaire le Point est parvenu à mettre la main.  Le rapport du jeune policier met notamment en cause le délégué syndical Unité-SGP-FO (classé à gauche) de sa section. Sur la façade de son I-Phone, il arborerait des slogans comme "Heil Hitler". Depuis, le délégué syndical s'est représenté sur les listes syndicales pour les élections professionnelles du 4 décembre. D'après le journal, le rapport, remis cet été à la hiérarchie, n'aurait donc absolument rien changé.  Pas une première Ce n'est pas la première fois que de tels cas surgissent, même s'ils demeurent assez rares. Manuel Valls, lui-même, a fait les frais de ce genre de polémiques lorsqu'il était encore ministre de l'Intérieur. Une jeune femme CRS, d'origine maghrébine, s'est plainte d'attaques racistes et sexistes. L'un de ses détracteurs portait sur son casque l'insigne d'une faction SS particulièrement meurtrière. Une apologie du nazisme particulièrement claire.  

Si vous en voulez d'autres allez sur internet